© Guitare en scène

Guitare en Scène – 22 juillet

Concert du 22 juillet du festival guitare en scène avec Sting, Nik West et Vintage Trouble.
Ouverture des portes à 18h

Dates

19.07.2024

Location

Avenue Napoleon III
74160 Saint-Julien-en-Genevois
France

Price

Plein tarif : de 80 à 100 € (Place en gradin (non numéroté) : 100 euros
Place debout : 80 euros), Tarif réduit : 45 € (Pour les enfants et jeunes de 5 à 18 ans et pour les étudiants. Un justificatif sera demandé à l'entrée en cas de doute. Attention, ce tarif ne donne pas accès aux gradins (places debout uniquement)).

Le concert My Songs de Sting est un spectacle exubérant et dynamique mettant en vedette ses chansons les plus appréciées, écrites tout au long de l’illustre carrière du lauréat de 17 Grammy Awards à la fois avec The Police et en tant qu’artiste solo. Après une résidence de six nuits à guichets fermés au London Palladium, My Songs a été salué comme “une masterclass” par le Times ; “Sting reste un interprète indéniablement talentueux avec un catalogue arrière plaqué or”. Un voyage musical avec des tubes comme “Fields of Gold’, ‘Shape of my Heart’, ‘Roxanne’ et ‘Demolition Man’, le concert a été décrit comme “un régal rare” par The Telegraph et a vu Sting salué comme “presque sans égal” par The Guardian avec “une sublime alchimie pop “. Les fans peuvent également s’attendre à entendre “Englishman In New York”, “Every Breath You Take”, “Roxanne”, “Message In A Bottle” et bien d’autres. En tournée, Sting sera accompagné d’un ensemble rock électrique.

Vintage Trouble, le quatuor, emmené par Ty Taylor, frontman charismatique et explosif, nourri par le gospel et les géants du genre tels que James Brown ou Otis Redding, s’est taillé en peu de temps une réputation plus qu’envieuse. Trois albums, «The Bomb Shelter Sessions» (2011), «The Swing House Acoustic Sessions» (2014) et «1 Hopeful Road» (2015), et quatre, «Chapter II – EP I/II/III/IV», un nombre incalculable de concerts aussi bien dans des salles intimistes que dans les plus grands festivals, même le Hellfest !, ouvrant pour les plus grands, de The Who à Willie Nelson, en passant par les Rolling Stones, Lenny Kravitz, Bon Jovi, Brian May (Queen), AC/DC… Leur secret ?… Des morceaux rock qui claquent, se parant tour à tour de couleurs soul, blues, rhythm’n’blues, country, folk, voire funky, qui groovent et, portés par l’incandescente énergie scénique de Ty Taylor, mettent le feu partout où ils se posent. Sincère, explosif, joyeux, enflammé, Vintage Trouble bouscule nos habitudes en nous plongeant dans une matrice soul peu usuelle sous nos latitudes. 

Si, au détour d’une allée de festival, vous veniez à croiser une licorne violette, ne prenez pas peur, bien au contraire, rapprochez-vous, tendez l’oreille et plongez à corps perdu dans l’univers de l’une des rares funkahero en activité. Car Nik West, avec son look ô combien reconnaissable et hors norme avec sa crête violette et ses looks bariolés, est de ces bassistes – et chanteuses puisqu’elle cumule avec talent les deux postes ! – qui vous embarquent sans coup férir vers le pays du groove absolu, endroit étrange où votre corps prend son indépendance pour bouger comme bon lui semble. Il faut dire qu’il y a de quoi être renversé par le style unique de la jeune américaine, subjugué même, comme le furent Prince, Lenny Kravitz, Dave Stewart (Eurythmics), Steven Tyler (Aerosmith), Macy Gray ou encore George Clinton, par son toucher magique que vient sublimer une voix envoûtante.